Ce monde est un jardin déserté par l'Amour.

Ils ont l'âme du soldat. Je suis Troubadour...

Ils cultivent leur "champignon" nucléaire !

Je n'ose le croire. Peut-on aimer la guerre ?

Rien ! Nous ne laisserons pas même un Souvenir.

Nous sommes le vent frémissant sur les branches,

La vague, rugissante, l'écume blanche...

Et ainsi, nous vivons de larmes et de rires.

Je n'ai jamais prié entouré de cierges ;

Mais sans le déplorer, ni m'estimer païen...

Où sont-ils donc Jésus et si Sainte Vierge ?

Il me suffit d'aimer tel le bon Chrétien !

Gérard MOZER Poème protégé par copyright

POETE DE L'AMITIE DIJON

Oui, il nous suffit d'aimer...

J'aime bien l'image qui nous représente comme le vent frémissant sur les branches,

la vague, l'écume blanche...

Ça ressemble un peu au bouddhisme, c'est bien agréable. Nous sommes même dans les pierres du chemin, n'est-ce pas ?

En nous promenant, on peut respirer le souffle de ceux qui s'en sont allés avant nous.

Malgré l'orage violent cette nuit, j'ai laissé mes volets et fenêtres grands ouverts, pour tenter de surprendre le goujat et d'essayer de le filmer avec mon portable avant de jeter les seaux d'eau ! Il faisait trop mauvais hier soir, mais ce matin, ça se serait pu. Réveillée tôt, je me suis postée près de la fenêtre, dans mon fauteuil à guetter les bruits, mais il n'est pas venu non plus. Sans doute fenêtres et volets béants l'ont-ils découragé ? Je vais faire ça plusieurs nuits, et essayer de guetter.

Il faut que ça cesse.

Il n'est pas question d'ignorer, ce n'est pas possible. Ou bien si vous pensez cela, venez chercher la puanteur qui s'installe, et les tâches immondes qui s'incrustent. Venez aussi faire votre deuil de vos petites plantes qu'il est inutile de remplacer puisqu'on les détruira systématiquement !

Et puis, tout de même, c'est quand même du harcèlement sur personne faible, seule, âgée, et malade en plus... C'est tout sauf respectable C'est tout sauf supportable ! ! Comme Fanfan le disait, s'il y avait un bonhomme ça ne se passerait pas comme ça, le goujat ne s'y aventurerait certainement pas ! Ou un chien... Je suis allergique, et n'ai pas la place ni le pouvoir d'en avoir. Qu'en ferais-je quand je vais en hôpitaux ?

Je ferai donc le guet les nuits prochaines encore, oui c'est ma santé qui en pâtit, oui... ça vient de l'indifférence et du manque de solidarité, de respect  de notre société

bon je me dépêche, je dois me préparer pour le taxi qui m'emmènera à l'hôpital voir l'oncologue.