• Tissage du Pont du Pérou

    Chaque année, au mois de Juin, les Péruviens refont ce pont, en mémoire des anciens... Quel travail, et quel Art !

     

    Je vous souhaite un bon moment à visionner ce document, ainsi qu'un bon et agréable dimanche 

    Bisous

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    Vers retrouvés

    Vers Retrouvés

    Mon amour est mort, et je pleure...

    Dans le jardin pillé le vent chasse les feuilles,

    Les nuages s'enfuient, gris dans un ciel de deuil.

    Des pâles chrysanthèmes les chevelures ternies

    S'inclinent pauvrement vers la terre endormie ;

    Triste automne, tu es dans mon coeur.

     

    Mais pourquoi l'ai-je tué,

    Cet amour épanoui au grand soleil d'été ?

    Tout seul, un jour, il serait mort,

    Lentement, doucement, triste métamorphose

    Des vieilles choses qui d'elles-mêmes se décomposent,

    Et je n'aurais pas vu cet atroce remords

    De sa griffe de fauve ainsi me labourer.

     

    Et toi, mon coeur, qu'as-tu, mon pauvre coeur fêlé,

    Vieux compagnon quêtant une dernière aumône,

    Et pourquoi pleures-tu cet amour étranglé,

    Quand le vent dans l'allée poursuit les feuilles jaunes ?

    1933 Maurice CHABEUF, poème protégé par copyright

     

    Ce Maurice avait vraiment beaucoup de regrets dans l'âme et savait

    très bien les traduire sur le papier.

    Il n'est plus de ce monde, mais ces écrits restent fidèles dans les tiroirs secrets.

    Je vous souhaite une belle journée d'automne, oubliez vos regrets, vos remords, bâtissez vos jours de façon à avoir mille raisons de vous réjouir.

    A demain

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  • Tout un symbole

    les fans auront la surprise de découvrir une version remasterisée du titre "Trois heures vingt", paru en 1984 sur l'album "Mélanie".
    En savoir plus sur http://www.chartsinfrance.net/Celine-Dion/news-102294.html#qCfFjBTYdVcomp6M.99


    Co-écrite par Eddy Marnay, le parolier du début de sa carrière, la ballade "Trois heures vingt" prend un relief tout particulier face aux épreuves que Céline Dion a affrontées ces derniers mois. Et pour cause, René Angélil, qui se savait mourant, avait insisté pour que cette chanson à la guitare résonne lors de 
    ses funérailles à la basilique Notre-Dame, à Montréal, le 22 janvier dernier. « Quand il m'a fait sa liste de chan­sons, j'étais un peu surprise, mais je ne l’ai pas ques­tionné parce que quand c'est le voeu, les derniers souhaits d’une personne, on ne ques­tionne pas ça, on respecte ça » a confié la chanteuse de 48 ans peu après l'événement, confiant que son mari s'était éteint entre 3 et 4 heures du matin... Comme un symbole, c'est donc ce titre émouvant qui viendra donc clore l'album "Encore un soir". Plus que deux semaines à attendre !

    En savoir plus sur http://www.chartsinfrance.net/Celine-Dion/news-102294.html#BK2hsoeGCO2DP2iB.99
     

    Trois heures vingt

    Céline Dion

    Je t'ai dit non, ça ne voulait rien dire
    J'avais encore très peur hier
    Il me fallait le temps de réfléchir
    J'étais encore bien jeune hier
    Mais ne fais pas cette tête
    Tout ira bien tu le sais
    Puisqu'à la fin, où tu vas
    Je vais

    On part ensemble, ok, c'est décidé
    Tu veux m'emmener loin d'ici
    Tout est prévu tu as tout arrangé
    Pour demain dans l'après-midi
    J'ai mes parents qui m'attendent
    Ne t'en fais pas je viendrai
    Puisque toujours, où tu vas
    Je vais

    Je viendrai
    Trois heures vingt, place d'Italie
    Je viendrai
    Pas plus tard que la demie
    Je viendrai, bien sûr
    Je viendrai, c'est sûr
    Ne crains rien
    Je viendrai

    Je viendrai
    Trois heures vingt, j'ai bien compris
    Je viendrai
    Pas plus tard que la demie
    Pas question, c'est dit
    De changer d'avis
    Ne crains rien
    Je viendrai

    Ne t'en fais pas j'ai confiance
    Tu ne te trompes jamais
    Et puis tu sais, où tu vas
    Je vais

    Paroliers : Eddy Marnay / Patrick Lemaitre

    Paroles de Trois heures vingt © Sony/ATV Music Publishing LLC 

     

     

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  • Cake courgettes chocolat

    Voici encore une bonne façon de vous régaler en consommant peu de sucres... Et en plus ça fait indirectement manger des légumes.

    Cake Aux Courgettes Et Au Chocolat

    Prep Time: 15 Min Cook Time: 40 Min Total Time: 55 Min

     

    Pour Le Cake

    3 tasses de courgettes râpées finement avec la peau

    1 tasse et demie de poudre d'amandes

    1/2 tasse de farine de coco

    1/2 tasse de farine de tapioca ou de manioc (optionnel)

    3/4 de tasse de cacao en poudre brut non sucré

    6 c. à soupe de sirop de coco (ou de d'érable ou de datte ou miel)

    2 oeufs

    2 c. à soupe d'huile de coco

    1 c. à soupe de bicarbonate

    1 pincée de sel

     

    Pour Le Glaçage

    100 g de chocolat noir (minimum 75 %)

    2 c. à soupe d'huile de coco

    2 c. à soupe de lait de coco

    Instructions

    Mettre tous les ingrédients du cake dans le bol d'un robot mixeur

    Mixer le tout jusqu'à ce que la préparation soit homogène. La pâte doit être assez liquide et la courgette doit

    être réduite au maximum et bien amalgamée aux autres ingrédients.

    Couler la pâte dans un moule à cake ou dans des moules individuels et enfourner à 170 °C environ 30 à 40

    minutes. (La cuisson sera plus courte si vous choisissez des petits moules).

    Le gâteau doit être encore fondant à la sortie du four. Il durcira encore en refroidissant.

    Préparer le glaçage en faisant fondre le chocolat noir avec l'huile de coco et le lait de coco.

    Recouvrir le cake avec le glaçage.

    Laisser refroidir puis placer au frais une nuit avant de consommer.

    paléoh! http://paleoh.fr/

     

    Je vous souhaite une très bonne journée

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    La personne qui s'en va

    LA PERSONNE QUI S’EN VA

    Médaille de bronze de la poésie contemporaine Française An 2000 

    Chaque personne qui s’en va

    Emporte un peu de nous,

    Comme si elle amputait

    Nos cœurs trop éprouvés.

     

    Elle a fermé les yeux

    Pour, enfin, être mieux,

    Emportant avec elle

    Ses fleuves de douleurs

    Mais aussi ses bonheurs.

     

    En trouvant le sommeil

    Elle rejoint l’éternel,

    Entraînant derrière elle, le son de nos fous rires,

    Ayant l’air de nous dire, C’est l’heure des souvenirs !

     

    Chaque fois, c’est pareil !

    On se croyait fin prêt,

    Et puis voilà qu’on perd la voix,

    Que tremblent nos genoux

    Et que l’on va pleurer 

    Marie-Annick COLNOT (Primerose)  poème protégé par copyright

     

     

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  • AUTOMNE

    Cette image illustre un peu ce que je décris à la fin, le tumulte chez moi, l'envie de crier stop. Des têtes de mort, et ben oui ! je comprends pourquoi parfois dans les actualités on nous rapporte que des voisins pètent les plombs et commettent des actes terribles. Quand on n'en peut plus moralement...Qu'on voudrait crier à l'aide et qu'il n'y a personne pour écouter...

    -:-:-:-:-:-

    Automne

    Ce calme jour d'automne coule en dehors du temps.

    Le ciel gris laisse entrevoir du bleu, par moments.

    Le vent du nord secoue les peupliers tremblants.

    Il fait plus frais. On voudrait vivre, s'agiter,

    Mais je sens que tout est vain, et je rêve...

     

    Devant moi, la pendule déchiquette le silence

    De son battement métallique et cruel,

    Et je demeure inerte.

    Il ferait si bon s'évader, ne plus penser.

    Tout mon courage a disparu,

    Et dans le creuset froid de mon coeur

    Il ne reste qu'une gelée tremblotante

    Qui vibre au moindre choc et glisse à toute pente.

     

    Ce jour-là s'en ira doucement comme il vint,

    Tandis que, prisonnier dans cette chambre close,

    Je sentirai le temps dilacérer mon âme

    Qui s'enfuira par la fenêtre

    Dans le brouillard de ma cigarette.

    1931 Maurice CHABEUF poème protégé par copyright

     

    C'est un très vieux poème retrouvé dans les archives qui ressort aujourd'hui.

    Il semblait bien seul, et drôlement s'ennuyer cet homme ! C'est vrai que la vapeur de la cigarette n'a jamais beaucoup donné de sens à la vie des gens...

     

    Devant chez moi mes horribles voisins (enfin les trois femmes) sont toute la journée dehors devant la fenêtre à fumer. Lorsque j'ouvre les fenêtres ça rentre chez moi. Les rues sont petites ; Cette maisonnée occupe désormais tout l'espace, tous les sons, Leur présence est tellement oppressante. C'est un tumulte continuel, et on se paye ma tête quand j'ouvre la fenêtre, et le reste.

    Bien sûr, ils l'ont amer, car comme j'ai mis une webcam, on n'ose plus venir faire des saletés sur mes fleurs.

    Toute cette troupe d'adultes se venge autrement...Surtout les femmes, et franchement elles sont tellement connes (pardon mais c'est vrai)  ! La maison doit être dans un bel état avec tout le temps qu'elles passent à fumer plantées dehors devant le cendrier posé sur l'appui de fenêtre. Je me demande quand il fera froid si ça continuera...

    Cette situation est vraiment pesante pour moi, j'essaie de faire comme ci je ne voyais rien, mais c'est dur. ON se demande comment on peut placer de telles familles au plein centre d'un village médiéval réputé ?

    Bon ceci dit, on ne va pas passer la journée là-dessus. Après-midi je vais voir l'algologue ; espérons qu'elle soulagera les douleurs grâce à l'acupuncture. J'en ai bien besoin.

    Sinon, nous avons la chance d'avoir encore du beau temps.

    Bonne journée

     

     

     

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  • Nouvelle rubrique

     

    J'ai décidé d'ouvrir cette rubrique, car lorsque nous sommes confrontés au grand départ, nous manquons souvent de mots pour nous exprimer.

    Je pense que certains seront contents ici de trouver des textes adaptés à leur ressenti.

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